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« The Book of Ivy #2 »

d'Amy Engel

 

 

Année VF : 2015

Editions : Lumen

 

 

 

Synopsis

 

J'ai tout perdu. Mon foyer. Ma famille.

L'homme que j'aime. Ce serait si facile de

capituler, de fermer les yeux et d'attendre

que la faim et la soif et raison de moi. Ou

bien qu'une bête sauvage me trouve. Ou

même un autre survivant... Mais je refuse

d'abandonner. J'en ai terminé avec la lâcheté.

Il est temps pour moi d'agir, enfin.
Bishop me l'avait bien dit, cet univers hostile

ne pardonne pas la moindre erreur. Et

au-delà e la barrière, c'est encore pire. L'hiver

approche, et si je veux survivre, il va me

falloir trouver de l'eau, des vivres, un abri.

D'autres condamnés avec lesquels m'allier.

Mais surtout, je vais devoir faire un choix :

dois-je oublier ma vie d'avant, me venger

de ceux qui m'ont trahie... ou mener, purement et simplement, la révolution ?
Car je ne suis plus une Westfall, ni une Lattimer. Simplement Ivy. Et je suis enfin libre.

 

 

Avant-Propos

 

Okay… je le dis. Je l’avoue. Même que,-ATTENTION-, je vais le crier haut et fort : Lumen, JE VOUS AIME !

Voilà, c’est fait. Ouf. Je me sens mieux. Oui, car Lumen, avec cette suite de mon giga coup de cœur du début d’année, confirme qu’elle est devenue ma maison d’éditions favorite. Tout simplement. Car il fallait le faire pour égaler le tome 1. Le surpasser était même inimaginable. Et pourtant, c’est chose faite : ce tome 2 est une pure tuerie. J’ai pleuré, j’ai crié, j’ai ri et surtout... j’ai aimé !

Raaaaah… que d’émotions… Alors merci Lumen pour cette nouvelle pépite qui a rejoint ma bibliothèque et, surtout, le rayon des sagas dans mon coeur que je ne suis pas prête d’oublier.

 

 

 

Ma chronique en brève 

 

Duologie de l'année. Duologie de ma vie. C'est bon, je peux mourir. (Enfin, pas tant que je n'ai pas trouvé mon Bishop personnel).

 

Note générale : 100/20 !!!

 

 

Alors avant de continuer, autant vous le dire, il n’y aura pas de spoilers sur cette seconde partie… mais toutefois, si vous n’avez pas lu le premier tome (ça peut arriver, je ne vous en voudrais pas, mais honnêtement, vous loupez votre vie, là), mieux vaut passer votre chemin, et revenir faire un tour par ici lorsque ce sera chose faite. Voilà. C'est dit.

 

 

Mon avis sur…

 

 

L’histoire

 

On avait donc laissé notre Ivy abandonnée de l’autre côté de la barrière, après avoir été trahie par sa famille et avoir perdu l’amour de sa vie (et de la mienne), j’ai nommé l’incroyable BISHOP.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On avait eu le cœur brisé (un peu comme celui d’Ivy d’ailleurs). On avait hurlé. On avait pleuré (toujours comme Ivy) et on avait même eu sacrément envie de faire subir toutes sortes de sévices à Carrie (qui est aussi affreuse que la voiture  Christine dans le livre éponyme du roi Stephen King), la sœur détestable de notre héroïne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’attente a été longue. Presque insoutenable. Je dois dire que pour moi, ce fut le fait d’avoir été séparée de Bisoph d’Amour qui m’a été le plus difficile à gérer. Des mois à patienter... ce fut une véritable torture.

Et enfin, novembre fut là. Je crois que je n’ai jamais été aussi ravie de voir l’hiver arriver, malgré le froid et tout ça. Jattendais fébrilement devant ma boîte aux lettres le St-Graal de cette année, le fabuleux tome 2.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Car oui, mesdames et messieurs, regardez-moi ce petit bijou (non, pas le mec du gif, le livre) que nous a pondu Lumen. Quand on a vu la couverture américaine (beurk, beurk), on ne peut que fondre devant celle français, qui est juste magnifique et représente parfaitement l’évolution d’Ivy entre le premier tome (où elle devait se cacher) et le second (où elle doit à présent se défendre). Cette couverture vend du rêve, tout simplement. Et pourtant, ce n’est rien comparé au trésor qu’elle referme (attention, ma chronique va être absolument dithyrambique).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Donc, après être partie dans toutes sortes de digressions couverturiales (regardez-moi ce beau mot que je viens d’inventer. Appelez le Larousse, il doit y être retranscrit), revenons à nos moutons et donc à notre Ivy lâchement abandonnée de l’autre côté de cette fichue barrière. Elle doit survivre dans un monde hostile, dont elle ignore tout. Et le danger ne réside pas que dans les bêtes sauvages mais également dans les humains qu’elle va croiser sur son chemin. Pourtant, sur ce même chemin, elle va aussi faire de belles rencontres, qui vont lui donner de la force et du courage. Car du courage, il va lui en falloir à notre Ivy internationale. Les épreuves seront en effet nombreuses sur sa route : entre l’absence de Bishop, la trahison de sa famille, le danger qui la guette à chaque touffe d’herbe, et le doute sur ce qui se trame pour ceux qu’elle aime de l’autre côté de la barrière. Elle va réapprendre à vivre, loin de sa famille néfaste, loin aussi de Bishop qu’elle aime tant.

 

Tiens, à propos de Bishop. Vous vous demandez certainement s’il la retrouve ? Je ne dirai rien du tout. Je serai une tombe sur ce sujet. Mais par contre, oui, il va croiser notre chemin, à nous, pauvres lecteurs enamourachés que nous sommes. Et il va nous faire fondre avec tout son Bishopisme dont lui seul est capable. Aaaaaaah (*yeux qui se perdent vers le lointain.*) Bishop, amour de ma vie, amour de mes nuits, pourquoi donc n’as-tu d’yeux que pour Ivy ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bon… allez, ça suffit les rimes à 2 balles. Soyons sérieuses deux secondes. Bishop, il est magique. Voilà, c’est tout. D’abord, il est sexy. Ensuite, il est sexy. Enfin, il est SEXY.

Et pour couronner le tout, il est S-E-X-Y (*mode cheerleader ON*).

Donc si on résume bien : nous avons une couverture de fou, une héroïne qui en bave mais qui va ainsi révéler sa vrai force et qui va trouver le sens réel du mot « famille », et enfin, on a du Bishop tout ce qu’il y a de plus Bishop.

Et rien que pour cela, ce livre en vaut vraiment le coup.

 

 

L'histoire : 20/20

Les personnages : 100/20 (principalement grâce à Bishop, mais Ivy n'est pas mal dans son genre)

 

 

L'écriture

 

Encore une fois, Amy Engel percute son lecteur de plein fouet avec son histoire de malade et son écriture directe, efficace, simple et poignante. Elle parvient autant à décrire l’action que les émotions des personnages. C’est maîtrisé, c’est efficace. C’est tout simplement parfait.

Amy Engel, je vous aime.

 

Le style d’écriture : 19/20

 

 

Petit plus

 

 

Donc voilà. Si je ne vous avais pas convaincus avec le premier tome de cette saga, j’espère que c’est dorénavant chose faite avec cette chronique. Sinon, c’est peine perdue. J’y ai mis tout mon cœur. Ce livre, c’est THE livre 2015. Dedans, y a THE mec 2015 (enfin, avec Keefe, parce que KEEFE quoi). Et il y a aussi THE héroïne 2015.

Bref, c’est le livre SO 2015. Le livre à avoir dans la bibliothèque. Le livre à dévorer au coin du feu. Le livre à cajoler le soir dans le lit.

LE livre.

Un point, c’est tout.

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LE COIN DU PARTENAIRE LUMEN 

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